C'est peut être une décision impromptue. Où bien juste un lien dans la description. Ou encore une légende sous une photo. 

Mais dans une aggression, le moment de fragilité qui va permettre d'extorquer à la victime une part d'elle même, le fait d'aimer et l'incohérence incompréhensible de se que j'écris.. plus pesante que d'habitude.

Sous l'effet de la colère, c'es la béatitude qui rejaillit. Un “je t'aime” calme le geste. C'est de l'écriture automatique. Ca retransmet les émotions claires du moment.

La démolition des fantasmes indomptables. La blessure brûlante d'un café brûlé. “u es du café ?!” Peur de faire tache. réformer ses performances. Oubli sa vie. Penser et être heureux. 

Oubli d'une vie.

c'est du threvor au fin fond de mémoire. Ca dérape, ca repasse. J'aime, ma musique du moment. Ma musique de bonheur. Celle qui se joue au fond de moi quand je vais bien.

J'ai peur d'une imposture, peur d'une fausse promesse.

Un mois c'est beaucoup ? Je repense à ce qu il c'est passé hier soir. je pense à moi, à ce que tu me donnes, à ce que tu recoit. Je pense à toi je pense à moi, je pense à nous. parce que je t'aime

C'est désordonné. Il y a du bordel dans ma tete

Je ne sais pas, si c'est la preuve de quoi que ce soit.

Si c'est l'evidence même en laquelle il faut croire. Un endroit ou la fragilité et l'aggressivité ne font qu'un. Alors est ce qu'une chose comme ca est reelle ? Ou meme juste possible ? Donc est-ce que ca veut dire que je peux dire à ma credulité et ma credibilité de mettre la clef sous la porte.

Et qu'est ce que ca veut dire d'ailleurs ?

J'ai pas tellement de choses à dire mais beaucoup à décrire et à dénoncer.

Parce que les gens ont mal. Ils souffrent d'une douleur invisible. Qui grignote le coeur à petit bout; Et décapite leurs souffle pour les bouffer sans compassion.
Donc je veux me battre contre une concession, une satyre de recalcitrance. Je veux, mais est-ce que je peux ?

J'avais l'impression de raconter. De narrer une belle histoire douloureuse.

Mais aujourd'hui je suis bien. Je me sens bien. Je suis heureuse. J'inscris comme d'habitude toute mon attention et tous mes sentiments à present.

Peut etre que c'est parce que j'ai enfin dans se renouveau des choses à apporter, des appréhensions et des contrariétés à rendre, mais au retour aussi une sorte d'aimâbilité gluante. 
Le genre de truc pas agréable qui colle à la peau et dont personnes ne veut. Le vieux truc peggant qui donne la galle que tous le monde se refile un par un avec une peur morbide dans le ventre. 

Une peur désagréable. Une peur irreelle et fraternelle en meme temps.

Mais comme toute chose, la peur fait partie d'une vie..

Nouvelle parodie.

J'ai vu hier, une nouvelle définition de moi même. Je me suis redécouverte. J'ai parcouru le monde en quelque seconde et mon corps recouvert de frisson a trouvé une nouvelle chose. Quelqu'un d’extérieur à moi, a décelé une infime fissure. Contenant un déluge d’écriture. Il a plu dans ma tête. Je me suis rendue compte de l'importance de mes mots. J'ai cherché des adjectifs au fin fond de ma terminaison. J'ai voulu écrire.

Je n'ai obtenu qu'une vulgaire crise de fois grâce aux sucreries enfilées une à une à la place de vulgarités amères.

Plutôt que d'enlever mes bagues, de me voler mes bracelets, on a décidé. L'impersonnel m'a trahit, on m'a trahit. Après l'innomabilité du “je” : l'impersonnalité du “on”. Comment puis je m'exprimer. Utilisé la familiarité du “nous” qui m'inclut. Ou la désignation du “vous”, qui m'exclut. L'impolitesse du “tu” ou la vénération du “ils” dois-je féminiser la chose ou privilégier la virilité ?

J'ai oublié de me cacher derrière des guillemets, je n'assume pas  mes dires. J'écoute des chansons, américaines, anglaises, japonaises. Tous ça pour me lier à l'incompréhension et me protéger inconsciemment.

Les gens parlent de Punchlines ou de lignes qui crachent, de phrases qui clouent sur place. Moi j'utilise la langue et les mots pour catalyser.

Je me place en priorité mais je ne suis pas humaniste. Je place la femme en priorité mais je ne suis pas féministe. 

Je m'impose. Et j'espère que l'homme comprendra le sens de mon discours. Toutes phrases a ses sous entendus. A travers mes textes, à travers mon clavier, mes doigts, ma pensée, transparaissent des idées claires mais sous entendues. Je dénonce mon injustice à travers une simple cause peu connue. 

Il n'y a rien de plus ravissant que de voir un ego meurtri sur le beau visage d'un ange #death proof

Je suis une Femme de Cromanion.

Comme un insecte sur la cerise du gateau. Degoutant et rebutant. Je repousse, je sers d'insecticide au contraire de la vermine. Je suis une femme de raison. Je suis une femme qui sais ce qu'elle veut. Je sais la punition. Je connais l'inumation et l'observation. Je suis une femme sans ambition. Mais je suis une femme qui se souvient. Je suis pas une fleur, je ne suis pas d'une laideur. J'espere juste pouvoir ouvrir des coeurs.

Rappellez vous d'il y a 25 ans. Je me rappelle. J'ai levé mes yeux, fais marcher mon esprit. 

Tu vois, j'ai oublié. J'ai raté mon ascension. Je modelise mon monde et oublie les faits. Passés, oubliés. Je veux que tous le monde sache.

C'est moi la meneuse du jeu. 

Je suis fille, je suis une femme au pied du mur. Je devisage cette barriere, intraversable. Barriere de mort. Qui separe les Hommes. Leurs renvoie leurs discrimination. Batisse d'interdiction. Mur de separation. Oublie d'une societé commune. Je modelise ma negation et envisage une solution.

C'est moi qui decide.

Mener le monde serait chose simple. Que de choses crasseuses qui cassent la rememoration. Que de personnes idiotes qui oublient ou ne se preoccupent qu'en oubliant que le présent peut se calquer sur le present.

Hommage à la chute du mur de Berlin, 07 Novembre 1989.

L'idéalisation ironique 

Il était une fois, un petit garçon et une petite fille. Qui s'aimait aussi fort que le soleil aime la lune. 

Je cherche à approfondir la relation qui nous lis. Suis-je importante. Ou juste un morceau de passage, d'une vie. Me considères-tu ou m’absous-tu ? 

La vérité c'est que j'ignore tous. Pauvre petite fille perdue dans mon vide intérieur que je suis. Penseras-tu à moi ? Ou à l'encontre de moi, penseras-tu à mon envers ?
Oublieras-tu tes rêves, comme chaque nuit. Sentiras-tu le besoin essentiel de ma présence. Comme j'ai envie de la tienne ?

Je reste présente, comme ombre d'une ombre. Comment être plus ombre qu'une ombre même. Tu es écrivain et philosophe, heureux et incompris.
Mais moi je t'aime.
Incapable de dépassé l'aura décapité gisant derrière moi. Tu vas m'abandonner. Tu vas rire et partir sans te retourner. Je serais là, toujours là. 

Petite fille pleurant son être très cher. 

Tu vas rire en regardant mon  incompréhension, riant de la façon dont je t’idéalise. Tu te détourneras pour m'oublier. J'oublis mes rêves. J'oublis mon passé et ma détermination. Tu riras de passion et de désintéressement. Mal au ventre de rire. Je pleurerais de rire, je rirais de pleurs. Tu me manqueras. Pas moi. 
C'est une sorte de perception incohérente de ton être qui m’apparaîtra. De ton toi trop compliqué, avec toutes ses définitions, toutes ses complications. Tous nos problèmes et tous notre bordel.

Arf ! Je t'aime. J'ai eu un beug qui me ramène toujours à mon point de départ. Mais c'est nerveux. J'ai quelqu'un qui s'accroche à mon être et me fournis mes fourmis. Dégueulasse. Dès que tu passes, dès que je te vois. Cent milles fourmis s'agitent au font de mon ventre. Ça me débecte, ça me dégoûte.

“On ne va pas mendier sa liberté aux autres, sa liberté, il faut la prendre”
Ignazo Silone

 Flume ε Chet Faker ~ Drop the Game

C'est l'histoire d'un plan cul. C'est l'histoire de deux personnes de sexes opposés qui se rencontrent. Se parlent, s'apprécie, s'attirent.

Dans cette relation, l'une des deux s'appelle M et l'autre s'appelle S. M et S s'attirent de plus en plus, ca se passe bien, ils se sentent bien l'un avec l'autre. Un jour S invite M à sortir. Ils sortent, rigolent, S jette des petits coup d'oeil à M..

Le soir il pleut, M veut rentrer mais de fils en aiguilles, il en a l'impossibilité. S invite alors M chez lui. M acquiesse. Pourquoi pas ? Ils rentrent tous les deux, mangent, se chamaillent. S continue ses oeillades. Puis ils montent se coucher. S installe un matelat. Comme de bons copains, ils parlent jusqu'à 2 voir 4h du matin puis s'endorment. 

Lequel des deux se laissa aller en premier ?

S et M partagent une nuit pleine de folie. 

Au petit matin, les deux se lèvent un peu gener. Puis M regarde S et lui dit :

“Humm, on remet ça ?”

S un peu abasourdie mais content, lui adresse un grand sourire. Puis M s'habille et s'en va. S prend son portable, regarde, aucun message. Il le repose et vaque à ses occupations.

Le lendemain, M et S on fixait un rendez vous. Ils sortent comme d'habitude. M regarde en coin S qui le regarde aussi, puis M se penche et le smack.

Leur aprèm ce finit à l'hotel. Quand soudain M regarde S, l'embrasse, et se rhabille. Puis en ce rhabillant, il tourne le dos à S, mais commence à parler :

“T est vraiment pas mal, en sois, je pense qu'il est gentil.”

“De quoi?”

“Il me plait”

“………”

“Ben quoi”

“…. Oooh, rien..”

Le soir, S rentre chez lui lassivement. Arrivé chez lui, branche son pc sur les enceintes et s'effondre sur le canapé. Prend son portable, jette un oeil dessus :

“Super aprèm avec toi

Grosses bises”

Le remet dans sa poche, soupir…

Il marche vers son frigo, prends une canette et l'ouvre.. Pchht

Que sont S et M l'un pour l'autre ?